ALLOCATION CHÔMAGE 0,7% D’AUGMENTATION DE L’ALLOCATION CHOMAGE : MEPRIS DU PATRONAT !

Revalorisation allocation chômage : 0,7%, l’expression du mépris du patronat après les attaques du gouvernement. À l’appel de la CGT, de Solidaires et FSU Pôle Emploi, des associations AC !, MNCP et APEIS, un rassemblement a eu lieu devant le Conseil d’administration de l’Unédic, ce 26 juin.

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https://www.cgt.fr/comm-de-presse/allocation-chomage-07-daugmentation-de-lallocation-chomage-mepris-du-patronat

La ville appartient à toutes et tous

87 citoyens engagés, 5 collectifs citoyens, 8 associations, 4 organisations syndicales, 6 partis politiques, 14 élus et responsables politiques demandent à Roland Ries, maire de Strasbourg, d’annuler l’arrêté anti-mendicité.

Le maire de Strasbourg, vient de prendre un arrêté censé répondre aux besoins de sécurité et tranquillité des habitant.e.s et usager.e.s occasionnel.le.s du centre-ville. Nous nous interrogeons sur l’utilité de cet arrêté anti-mendicité. S’il s’agit de délits, de crimes, ou plus généralement de troubles à l’ordre public, l’arsenal législatif existant est déjà bien fourni et permet de prendre l’ensemble des mesures nécessaires. Mais ici, ce n’est pas cela qui est visé. Cet arrêté ne veut qu’éloigner d’un secteur prédéfini des personnes présentes « de manière prolongée » dans la rue, au risque de les stigmatiser comme marginales ou dangereuses, renouant ainsi avec un imaginaire discriminatoire que nul.le ne devrait revendiquer dans une ville se voulant hospitalière. Parmi les cibles visées par ce texte, on dénombre des personnes pauvres, parfois sans-abri. N’oublions pas qu’ils et elles sont des centaines qui dorment chaque soir dans nos rues, qui y meurent parfois. Car à Strasbourg, une personne sur quatre, vit en dessous du seuil de pauvreté. S’il y a une violence à combattre, c’est bien celle-là ! Nous, citoyen.ne.s, associations, militant.e.s, élu.e.s, dénonçons l’arrêté anti-mendicité publié et signé par le Maire de Strasbourg. En effet il s’agit là d’une atteinte à la liberté de jouissance des personnes, et en particulier des plus précaires. Il n’aura pour résultat que de générer encore plus de discrimination et d’animosité. Nous demandons au maire de Strasbourg de revenir sur sa décision et d’annuler cet arrêté, que nous considérons comme une faute politique. Nous appelons à la constitution d’une coalition pour une ville hospitalière et zéro sans-abri, afin d’engager dans notre ville un dialogue ouvert de nature à apaiser les tensions et à renforcer la cohésion, pour un partage de l’espace public basé sur le vivre ensemble et non sur la peur ou l’exclusion de l’autre, en s’appuyant sur des politiques qui ne soient pas pour le confort de quelques-un.e.s., mais au service du bien-être et de la sécurité de toutes et tous. La violence et les troubles ne se résolvent pas par le rejet et la force brute. Luttons contre la pauvreté, hébergeons les personnes sans-abris. La ville appartient à toutes et tous !

Le printemps des retraités et des retraitées dans la rue le jeudi 11 avril 2019

Le 11 avril, rendons visibles notre colère et nos exigences ! MANIFESTATION 14 h place Kléber à Strasbourg

Un gouvernement sourd dingue ! Dès son arrivée à la présidence de la République M. Macron a attaqué les retraitée-s : gel des pensions pour 2018 et 2019, augmentation de 25 % de la CSG, soit une perte de pouvoir d’achat de 5% en deux ans ! Il a provoqué la colère, que plus de 200 000 personnes ont exprimé en manifestant le 15 mars 2018 à l’appel de nos neuf organisations. Puis l’inflexibilité du gouvernement sourd dingue a provoqué une crise sociale profonde, l’irruption des gilets jaunes et, parmi elles et eux, de très nombreuses personnes retraitées présentes sur les ronds-points, dans les discussions et manifestations.

MOBILISATION 15 et 16 mars pour le climat

Vendredi 15 mars – Grève Mondiale Pour Le Climat. A 13h départ de la place Kléber vers le parlement européen. La CGT soutient l’appel de la jeunesse à une mobilisation mondiale pour le climat et appelle les salarié-e-s, les retraité-e-s, les privé-e-s d’emploi et les jeunes à participer massivement aux mobilisations organisées le 15 mars prochain dans toute la France. C’est le défi principal de notre temps : le réchauffement climatique et ses conséquences sur les pertes de biodiversité. Depuis l’adoption en 1992 des deux conventions mondiales des Nations Unies sur le Climat et sur la Biodiversité, les orientations nécessaires et les changements à opérer sont connus. Pourtant, de COP en COP, les rapports sont de plus en plus alarmants et, dans les faits, pas de changement de cap ! Pas de changement de système ! Samedi 16 mars – Marche pour le Climat. Départ 14 h campus de l’esplanade devant la faculté de Droit.

Manifestation intersyndicale : Mardi 19 mars 2019 – 14 place Kléber à Strasbourg

Malgré le profond mécontentement qui s’exprime depuis plusieurs mois dans tout le pays, le gouvernement continue à dérouler sa feuille de route et à appliquer son programme de destruction sociale. Que ce soit sur l’éducation, les services publics, la santé ou encore notre système de retraite tout va dans le même sens : réduire « la dépense publique ». En clair c’est réduire le financement de tous les services et droits qui nous sont utiles au quotidien. Le récent rapport de la cour des comptes préconisant de nouvelles mesures d’austérité est éloquent ! Toutes les exigences de justice sociale, portées par les mouvements sociaux et une très grande majorité de la population, sont balayées d’un revers de main. La seule réponse apportée par le gouvernement aux légitimes revendications sociales, c’est la carotte du « Grand débat National » et le bâton de la répression. Par la lutte, imposons nos revendications ! Le 5 février, journée de grèves et de manifestation a marqué une nouvelle étape dans la mobilisation. Salariés, retraités, jeunes, gilets jaunes ont fait entendre leurs exigences de progrès social et leur détermination ! La CGT ne veut pas en rester là. L’heure est à l’élargissement de la mobilisation, seul moyen de stopper le gouvernement et le Médef dans leur entreprise de casse de notre système social et la mise en place d’une société toujours plus inégalitaire et toujours plus injuste ! Toutes celles et ceux qui ont à cœur les valeurs de progrès et de justice sociale ont leur place dans l’action. Organisons l’action ! Pour créer les conditions de gagner, la CGT propose de multiplier les actions revendicatives : • En se mobilisant le 8 mars pour l’égalité femmes-hommes. • En préparant la nouvelle journée unitaire de grèves et de manifestation du mardi 19 mars 2019. Enfin, nous ne laisserons pas restreindre le droit de manifester comme entend le faire le gouvernement sous prétexte de sa « loi anti-casseurs » ! Nous dénonçons toutes formes de violences, et particulièrement les provocations et répressions policière qui sont de plus en plus disproportionnées envers les manifestants pacifiques. Manifester est un droit ! Et le restera !

Communiqué de presse de l’UD CGT

Antisémitisme, en Alsace comme ailleurs : STOP, jetzt làngt’s !!!

L’UD CGT du Bas-Rhin condamne fermement la recrudescence des actes antisémites dans L’UD CGT du Bas-Rhin condamne fermement la recrudescence des actes antisémites dans le Bas-Rhin. La liste ne cesse de s’allonger ! Tout récemment, après la profanation du cimetière juif de Quatzenheim, ce sont coup sur coup la stèle symbolisant l’ancienne synagogue de Strasbourg, incendiée par les nazis en 1940, qui a été renversée de son socle. Puis une inscription antisémite a été trouvée à l’école maternelle du Conseil des XV à le Bas-Rhin. La liste ne cesse de s’allonger ! Tout récemment, après la profanation du cimetière juif de Quatzenheim, ce sont coup sur coup la stèle symbolisant l’ancienne synagogue de Strasbourg, incendiée par les nazis en 1940, qui a été renversée de son socle. Puis une inscription antisémite a été trouvée à l’école maternelle du Conseil des XV à Strasbourg et enfin des croix gammées ont été taguées sur l’ancienne synagogue de Mommenheim. Depuis les 250 tombes profanées au cimetière juif de Sarre-Union en 2015, en passant par les divers tags nazis retrouvés en 2018 et début 2019, il est maintenant plus que temps que tout le monde réagisse contre le retour de la bête immonde. Bête immonde que la CGT a combattue naguère et dont elle continue de combattre au quotidien les idées dans les services et les entreprises, et dans la rue ! La CGT combat et combattra toujours le racisme et la xénophobie mais également le sexisme et l’homophobie. Il devient trop facile pour une minorité d’individus de profiter de la crise sociale que traverse le pays pour essayer de renvoyer les problèmes sur d’autres à cause de leurs origines, de leurs religions ou tout simplement de leurs différences. La CGT continuera à œuvrer avec toutes les forces sociales et tous les progressistes pour s’opposer à ces idées toxiques et proposer des alternatives pour une société plus juste et plus tolérante.

Strasbourg : Rassemblement 8 mars à 15h40 – place Kleber

Nous représentons 52% de la population française.
Nous sommes caissières, enseignantes, agentes d’entretien, secrétaires, infirmières, aides à domiciles, assistantes maternelles, travailleuses sociales, administratives, sages-femmes, hôtesses… Nos métiers sont indispensables à la société. Pourtant, ils sont mal rémunérés et leur pénibilité n’est pas reconnue. Nous sommes ingénieures, techniciennes, ouvrières, employées ou cadres. Nous faisons le même travail que des hommes mais avec un salaire inférieur. Nous sommes à temps partiels avec un salaire partiel souvent parce que nous n’avons pas d’autre choix.
Entre les courses, le ménage et les enfants, nous réalisons en moyenne 20 h de tâches ménagères par semaine. Notre travail est invisibilisé et dévalorisé. Notre salaire est inférieur de 26% à celui des hommes. De ce fait, à partir de 15H40 nous travaillons gratuitement. Nous sommes retraitées et notre pension est de 40% inférieure à celle des hommes.
Nous sommes étrangères, victimes de racisme, handicapées, lesbiennes, et nous cumulons les discriminations. Nous sommes des femmes et au travail, dans la rue ou chez nous, nous sommes confrontées à des violences sexistes et sexuelles
Nous sommes des Brésiliennes, des Espagnoles, des Iraniennes, des Argentines, des Polonaises, des Indiennes, des Etats-Uniennes et nous sommes partout dans le monde solidaire de toutes les femmes qui luttent contre les réactionnaires et conservateurs au pouvoir
Pour dire que nous exigeons nos droits. Pour exiger que notre travail soit reconnu et rémunéré. Pour imposer la fin des violences et garantir nos libertés de choix. Pour gagner l’égalité. Pour faire entendre nos revendications à nos employeurs et au gouvernement.
Nous appelons à une grève féministe le 8 mars, à des actions des rassemblements, des manifestations. Débrayons à 15h40. Portons toutes et tous un foulard violet ! (disponible à l’UD)
#8mars15h40
Premiers signataires : ATTAC Strasbourg, CGT 67, DNSI 67, FSU 67, NPA67, Solidaires Alsace, PCF 67

Tract en pièce jointe: fhttp://www.cgt67.com/wp-content/uploads/2019/02/8Mars.pdf

La CGT condamne avec force et indignation, les actes antisémites qui se multiplient en France comme ce fut le cas encore samedi dernier.

La CGT combat au quotidien, dans les services et les entreprises, le racisme et la xénophobie mais également le sexisme et l’homophobie. Ces actes s’opposent aux valeurs de la république que sont l’égalité et la fraternité. Sur fond de crise sociale profonde, il devient trop facile pour une minorité d’individus d’essayer de renvoyer sur d’autres à cause de leurs origines, de leurs religions ou tout simplement de leurs différences, l’origine de leurs problèmes. C’est dangereux et intolérable.

La CGT continuera à œuvrer avec toutes les forces sociales et tous les progressistes pour s’opposer à ces idées toxiques et proposer des alternatives pour une société plus juste et plus tolérante.

PAR LES GRÈVES, LES BLOCAGES ET LES MANIFESTATIONS FAISONS CÉDER LE GOUVERNEMENT ET LE PATRONAT

Tous en grève le 5 février 2019

Le gouvernement s’engage dans une escalade dangereuse en continuant les provocations (les jeunes et les travailleurs n’auraient pas le goût de l’effort !!!), en refusant de répondre aux revendications, en confirmant l’ensemble des contre-réformes à venir (retraites par points, assurance-chômage…) et en s’enfermant dans une dérive autoritaire.

L’Union départementale CGT du Bas-Rhin affirme que la colère ouvrière, exprimée dans les grèves, et dans la mobilisation des Gilets jaunes, est totalement légitime face à un gouvernement et un patronat qui n’agissent que pour le seul profit des actionnaires et des banquiers (57 milliards d’euros servis aux actionnaires).

L’UD CGT 67 condamne fermement la violente répression des manifestants ordonnée par le gouvernement (gazages, tirs de flash-ball, grenades de désencerclement considérées comme armes de guerre, milliers d’interpellations et de garde à vue…).

Les mesures annoncées par le Premier ministre, lundi 7 janvier 2019, sont particulièrement inacceptables : la stratégie de la radicalisation portée par le gouvernement ouvre une situation lourde de dangers pour les libertés démocratiques, en particulier pour la liberté de manifester qui ne saurait être restreinte, sous quelque prétexte que ce soit.

L’UD CGT 67 dénonce l’opération « grand débat national » avancé par l’exécutif comme la réponse démocratique à la crise actuelle. Le débat « on va se le faire » avec la CGT.

Macron et son gouvernement n’ont en réalité qu’un seul objectif : sortir de leur isolement et être légitimés afin de poursuivre la casse sociale.

L’UD CGT du Bas-Rhin appelle ses syndicats, syndiqués, militants, à préparer et à participer à la journée d’action confédérale interprofessionnelle du 5 Février 2019