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Communiqué de presse de l’UD CGT

Antisémitisme, en Alsace comme ailleurs : STOP, jetzt làngt’s !!!

L’UD CGT du Bas-Rhin condamne fermement la recrudescence des actes antisémites dans L’UD CGT du Bas-Rhin condamne fermement la recrudescence des actes antisémites dans le Bas-Rhin. La liste ne cesse de s’allonger ! Tout récemment, après la profanation du cimetière juif de Quatzenheim, ce sont coup sur coup la stèle symbolisant l’ancienne synagogue de Strasbourg, incendiée par les nazis en 1940, qui a été renversée de son socle. Puis une inscription antisémite a été trouvée à l’école maternelle du Conseil des XV à le Bas-Rhin. La liste ne cesse de s’allonger ! Tout récemment, après la profanation du cimetière juif de Quatzenheim, ce sont coup sur coup la stèle symbolisant l’ancienne synagogue de Strasbourg, incendiée par les nazis en 1940, qui a été renversée de son socle. Puis une inscription antisémite a été trouvée à l’école maternelle du Conseil des XV à Strasbourg et enfin des croix gammées ont été taguées sur l’ancienne synagogue de Mommenheim. Depuis les 250 tombes profanées au cimetière juif de Sarre-Union en 2015, en passant par les divers tags nazis retrouvés en 2018 et début 2019, il est maintenant plus que temps que tout le monde réagisse contre le retour de la bête immonde. Bête immonde que la CGT a combattue naguère et dont elle continue de combattre au quotidien les idées dans les services et les entreprises, et dans la rue ! La CGT combat et combattra toujours le racisme et la xénophobie mais également le sexisme et l’homophobie. Il devient trop facile pour une minorité d’individus de profiter de la crise sociale que traverse le pays pour essayer de renvoyer les problèmes sur d’autres à cause de leurs origines, de leurs religions ou tout simplement de leurs différences. La CGT continuera à œuvrer avec toutes les forces sociales et tous les progressistes pour s’opposer à ces idées toxiques et proposer des alternatives pour une société plus juste et plus tolérante.

Strasbourg : Rassemblement 8 mars à 15h40 – place Kleber

Nous représentons 52% de la population française.
Nous sommes caissières, enseignantes, agentes d’entretien, secrétaires, infirmières, aides à domiciles, assistantes maternelles, travailleuses sociales, administratives, sages-femmes, hôtesses… Nos métiers sont indispensables à la société. Pourtant, ils sont mal rémunérés et leur pénibilité n’est pas reconnue. Nous sommes ingénieures, techniciennes, ouvrières, employées ou cadres. Nous faisons le même travail que des hommes mais avec un salaire inférieur. Nous sommes à temps partiels avec un salaire partiel souvent parce que nous n’avons pas d’autre choix.
Entre les courses, le ménage et les enfants, nous réalisons en moyenne 20 h de tâches ménagères par semaine. Notre travail est invisibilisé et dévalorisé. Notre salaire est inférieur de 26% à celui des hommes. De ce fait, à partir de 15H40 nous travaillons gratuitement. Nous sommes retraitées et notre pension est de 40% inférieure à celle des hommes.
Nous sommes étrangères, victimes de racisme, handicapées, lesbiennes, et nous cumulons les discriminations. Nous sommes des femmes et au travail, dans la rue ou chez nous, nous sommes confrontées à des violences sexistes et sexuelles
Nous sommes des Brésiliennes, des Espagnoles, des Iraniennes, des Argentines, des Polonaises, des Indiennes, des Etats-Uniennes et nous sommes partout dans le monde solidaire de toutes les femmes qui luttent contre les réactionnaires et conservateurs au pouvoir
Pour dire que nous exigeons nos droits. Pour exiger que notre travail soit reconnu et rémunéré. Pour imposer la fin des violences et garantir nos libertés de choix. Pour gagner l’égalité. Pour faire entendre nos revendications à nos employeurs et au gouvernement.
Nous appelons à une grève féministe le 8 mars, à des actions des rassemblements, des manifestations. Débrayons à 15h40. Portons toutes et tous un foulard violet ! (disponible à l’UD)
#8mars15h40
Premiers signataires : ATTAC Strasbourg, CGT 67, DNSI 67, FSU 67, NPA67, Solidaires Alsace, PCF 67

Tract en pièce jointe: fhttp://www.cgt67.com/wp-content/uploads/2019/02/8Mars.pdf

La CGT condamne avec force et indignation, les actes antisémites qui se multiplient en France comme ce fut le cas encore samedi dernier.

La CGT combat au quotidien, dans les services et les entreprises, le racisme et la xénophobie mais également le sexisme et l’homophobie. Ces actes s’opposent aux valeurs de la république que sont l’égalité et la fraternité. Sur fond de crise sociale profonde, il devient trop facile pour une minorité d’individus d’essayer de renvoyer sur d’autres à cause de leurs origines, de leurs religions ou tout simplement de leurs différences, l’origine de leurs problèmes. C’est dangereux et intolérable.

La CGT continuera à œuvrer avec toutes les forces sociales et tous les progressistes pour s’opposer à ces idées toxiques et proposer des alternatives pour une société plus juste et plus tolérante.

PAR LES GRÈVES, LES BLOCAGES ET LES MANIFESTATIONS FAISONS CÉDER LE GOUVERNEMENT ET LE PATRONAT

Tous en grève le 5 février 2019

Le gouvernement s’engage dans une escalade dangereuse en continuant les provocations (les jeunes et les travailleurs n’auraient pas le goût de l’effort !!!), en refusant de répondre aux revendications, en confirmant l’ensemble des contre-réformes à venir (retraites par points, assurance-chômage…) et en s’enfermant dans une dérive autoritaire.

L’Union départementale CGT du Bas-Rhin affirme que la colère ouvrière, exprimée dans les grèves, et dans la mobilisation des Gilets jaunes, est totalement légitime face à un gouvernement et un patronat qui n’agissent que pour le seul profit des actionnaires et des banquiers (57 milliards d’euros servis aux actionnaires).

L’UD CGT 67 condamne fermement la violente répression des manifestants ordonnée par le gouvernement (gazages, tirs de flash-ball, grenades de désencerclement considérées comme armes de guerre, milliers d’interpellations et de garde à vue…).

Les mesures annoncées par le Premier ministre, lundi 7 janvier 2019, sont particulièrement inacceptables : la stratégie de la radicalisation portée par le gouvernement ouvre une situation lourde de dangers pour les libertés démocratiques, en particulier pour la liberté de manifester qui ne saurait être restreinte, sous quelque prétexte que ce soit.

L’UD CGT 67 dénonce l’opération « grand débat national » avancé par l’exécutif comme la réponse démocratique à la crise actuelle. Le débat « on va se le faire » avec la CGT.

Macron et son gouvernement n’ont en réalité qu’un seul objectif : sortir de leur isolement et être légitimés afin de poursuivre la casse sociale.

L’UD CGT du Bas-Rhin appelle ses syndicats, syndiqués, militants, à préparer et à participer à la journée d’action confédérale interprofessionnelle du 5 Février 2019

MOBILISATION DE TOUTE LA CGT LE 5 FEVRIER 2019

POUR RÉPONDRE À L’URGENCE SOCIALE La CGT appelle à la grève le 5 février.

Depuis de nombreuses années, les politiques menées au service du capital par les gouvernements successifs génèrent de fortes injustices sociales, territoriales et fiscales. La CGT n’a cessé d’alerter les pouvoirs publics, de mobiliser dans les entreprises et les services contre des reformes régressives et pour une autre répartition des richesses produites dans le pays… Depuis de nombreuses années, les politiques menées au service du capital par les gouvernements successifs génèrent de fortes injustices sociales, territoriales et fiscales. La CGT n’a cessé d’alerter les pouvoirs publics, de mobiliser dans les entreprises et les services contre des reformes régressives et pour une autre répartition des richesses produites dans le pays. Gouvernement et patronat sont restés sourds et sont responsables de la crise actuelle. Ce ne sont pas les mesurettes récentes annoncées par le gouvernement en réponse au mouvement des gilets jaunes qui répondent aux urgences sociales. Les 57 milliards d’euros versés aux actionnaires des grandes entreprises démontrent l’ampleur des richesses créées par les travailleurs. Au-delà des mobilisations des citoyen-ne-s depuis de nombreuses semaines, il est indispensable de construire un rapport de force, notamment par la grève, pour imposer au patronat la redistribution des richesses. La CGT appelle les salarié-e-s, les agent-e-s, les jeunes comme les retraité-e-s, les privé-e-s d’emploi à se mobiliser ensemble par la grève et les manifestations pour obtenir : • une augmentation du Smic, du point d’indice, de tous les salaires et pensions ainsi que des minimas sociaux ; • une réforme de la fiscalité : une refonte de l’impôt sur le revenu lui conférant une plus grande progressivité afin d’assurer une plus grande redistribution des richesses et d’alléger le poids de l’impôt indirect (TVA, TICPE) pénalisant les salariés et les ménages, le paiement des impôts en France de grandes sociétés (ex. : GAFA), une imposition plus forte des plus hauts revenus et de la détention de capital ; • la suppression des aides publiques aux entreprises (CICE, et exonérations diverses, etc.) qui ne servent ni l’emploi, ni la revalorisation des salaires, ni l’investissement de l’appareil productif et mettent à mal notre protection sociale ; • le développement des services publics, partout sur le territoire, en réponse aux besoins de la population, avec des moyens suffisants en personnels pour un bon exercice de leurs missions ; • le respect des libertés publiques tel que le droit de manifester remis en cause par le gouvernement.

La CGT appelle à tenir des assemblées générales, sur tous les lieux de travail et dans tous les secteurs professionnels, pour réussir la grève et les manifestations le mardi 5 février 2019 et débattre des suites à construire dans la durée.

C’est Ensemble Qu’on Va Gagner !

L’Union Départementale CGT 67 appelle ses adhérent.e.s à amplifier l’action des Gilets Jaunes sur la base des revendications et valeurs de la CGT.

 • Augmentation des salaires, des minima sociaux, du point d’indice des fonctionnaires, des pensions de retraite;

• la reconnaissance des qualifications,

• une protection sociale de qualité tout au long de sa vie avec des droits à la retraite à taux plein à 60 ans, moins selon la pénibilité des métiers avec une pension égale à 75 % de mon salaire et en aucun cas inférieure au Smic ;

• l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes – à travail égal, salaire égal ; • Amélioration des conditions de travail ;

• des droits au déplacement partout et pour tous, avec des transports accessibles et de qualité ;

• l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes – à travail égal, salaire égal ;

• Amélioration des conditions de travail ;

• la prise en charge par l’employeur des trajets domicile/travail. • Augmentation des salaires, des minima sociaux, du point d’indice des fonctionnaires, des pensions de retraite; • la reconnaissance des qualifications,

• une protection sociale de qualité tout au long de sa vie avec des droits à la retraite à taux plein à 60 ans, moins selon la pénibilité des métiers avec une pension égale à 75 % de mon salaire et en aucun cas inférieure au Smic ;

• la prise en charge par l’employeur des trajets domicile/travail.

Samedi à 10h00 Place de la République Strasbourg

RASSEMBLEMENT 15 janvier 2019

RASSEMBLEMENT DEVANT LE TGI DE STRASBOURG LE 15 JANVIER 2019 DE 11 H A13 H.
L’intersyndicale CGT – FO- CFTC – SAF appelle à un rassemblement contre la mise à mort des conseils de Prud’hommes et contre la représentation par un avocat dans les litiges concernant les contestations de désignation de Délégués syndicaux et du contentieux des élections professionnelles.
Ensemble portons une autre vision de la justice avec des garanties fondamentales renforcées.
Disons NON à une justice à deux vitesses en déconnexion avec les besoins.
L’UD invite toutes les structures du département à participer à ce rassemblement.

 

PETITION

Nos besoins doivent être entendus, j’agis !

Aspirer à mieux vivre, s’épanouir dans son travail, et après son travail, sont des aspirations légitimes pour tout salarié, jeune, privé d’emploi et retraité. La garantie de la Sécurité sociale, des retraites et des services publics dépend du niveau des salaires. Il faut redonner toute sa valeur et sa place au Travail ! La France est dans le top 3 du versement des dividendes aux actionnaires. Il est urgent de redistribuer les richesses créées par le travail aux salariés, jeunes, privés d’emploi et retraités. Avec la CGT, agissons pour être écoutés !
Pour lutter contre la vie chère, avec la CGT, je revendique :
• l’augmentation des salaires, des minima sociaux, du point d’indice des fonctionnaires, des pensions;
• la reconnaissance des qualifications,
• l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes – à travail égal, salaire égal;
• des emplois de qualité, d’améliorer les conditions de travail, de travailler tous, mieux et moins;
• une protection sociale de qualité tout au long de sa vie avec des droits à la retraite à taux plein à 60 ans, moins selon la pénibilité des métiers avec une pension égale à 75 % de mon salaire et en aucun cas inférieure au Smic;
• des droits au déplacement partout et pour tous, avec des transports accessibles et de qualité;
• la prise en charge par l’employeur des trajets domicile/travail.
Pour obtenir satisfaction, ma voix compte :
• je décide D’AGIR et de me MOBILISER pour, ensemble, maintenir nos droits et en gagner de nouveaux, imposer l’ouverture de négociations sur nos revendications et les propositions de la CGT;
• je décide de M’ENGAGER sous diverses formes, et notamment par la grève interprofessionnelle dans les entreprises et les administrations.

Pour signer la pétition cliquez: https://www.cgt.fr/petition/nos-besoins-doivent-etre-entendus-je-sign

CGT Strasbourg Eurométropole

Strasbourg – Éducation en grève le 15 janvier !

L’intersyndicale CFDT – CGT – FO – UNSA dépose un préavis de grève à l’intention des agents-es de la Direction de l’Enfance et de l’Education – services Périscolaire et éducatif et Patrimoine enfance et éducation – pour la journée du mardi 15 janvier 2019.

Les agents-es s’opposent à la décision concernant les rythmes scolaires prise par le Maire de Strasbourg en ce qu’elle ne tient pas compte du choix des conseils d’école et qu’elle emportera pour eux-elles des conséquences non négligeables sur leurs conditions de travail.